Il s'agit ici d'aider et d'accompagner la personne à identifier d'une part la source de sa souffrance ou de sa difficulté et d'autre part les ressources qu'elle possède afin d'y faire face,  afin de retrouver un meilleur équilibre psychique, une meilleure qualité de vie.

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Consulter un psychologue permet ainsi de mieux se connaître, d'identifier ses ressources et ses limites. C'est apprendre à mieux s'accepter, c'est aussi apprendre à mobiliser ses ressources pour changer certains comportements, certaines pensées, certaines habitudes, devenus des freins à une vie plus sereine.

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Adulte : Souffrances psychologiques, difficultés familiales, difficultés de couple, difficultés professionnelles et gestion du stress, affirmation de soi et assertivité, trouble de l'humeur, anxiété, angoisse, deuils difficiles, ou tout autre motif.

Thérapie de couple sur le modèle de la Systémie.

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Enfant :  Difficultés scolaire, troubles des apprentissages, troubles émotionnels et du comportement, difficultés familiales, séparation ou divorce des parents, tout autre motif.

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La petite enfance (0 - 4 ans) 
Durant la petite enfance, c'est surtout par des manifestations somatiques que l'enfant exprime son malaise. Parmi ceux ci, citons les vomissements répétés, les régurgitions, les difficultés a s'endormir, la propreté non acquise ou perdu, etc. Chez le nourrisson, l'évitement du regard, l'absence de babil, l'indifférence à ce qui se passe autour de lui, une trop grande "sagesse", doivent alerter. Plus tard, des jeux stéréotypés, une grande anxiété lorsque l'enfant est séparé d'un objet de prédilection sont également des signes qui peuvent motiver une consultation psychologique.

L'enfance (4 - 10 ans)

Les troubles de l'acquisition du langage ou de son utilisation (syntaxe incorrecte, pauvreté du vocabulaire, néolangage ...), l'agitation continuelle, ou au contraire un repli sur soi, la chute des résultats scolaires, les difficultés d'apprentissage, la perte de la propreté, l'agressivité, les vols et mensonges systématiques et durables, les conflits permanents dans la famille ou à l'extérieur de celle-ci, les peurs durables (le loup, les monstres, le fantôme...), les troubles du sommeil, une grande maladresse dans l'utilisation que fait l'enfant de son corps, sont autant des signes qu peuvent motiver une consultation psychologique. 


                           Comment se passent les consultations ?

 

L'enfant est reçu avec ses parents pour le premier entretien. Chacun peut ainsi exprimer ce qui pose question ou difficulté .

Lorsque les parents sont séparés, je contacte l'autre parent, à minima par téléphone.

Il s'agit ici de tenter de comprendre la difficulté actuelle de l'enfant et d'en retracer l'histoire (début du trouble, évolution, impact sur l'entourage, la fratrie, l'école, etc) sans jamais porter de jugement sur les parents ou l'enfant.
Cette recherche de compréhension signifie que parents, enfant et moi même sommes "d'égal a égal" : il s'agit de comprendre ce que l'enfant tente de signifier et que lui même, sans doute, ignore. 
A partir de ce premier entretien et si cela est nécessaire, une orientation vers d'autres spécialistes (orthophoniste, psychomotricien, médecin pédopsychiatre) peut être proposé.

 
L'enfant est ensuite reçu seul pendant quelques séances. La famille est également reçue régulièrement, en présence de l'enfant ou sans la présence de l'enfant en fonction des situations.

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Adolescent et Etudiant : Difficultés scolaires, stress lié aux études, troubles émotionnels et du comportement, conduites d'oppositions, addictions et conduites à risques, ou tout autre motif.

 

Chez l'adolescent, tout changement brusque doit alerter : retrait, désintérêt vis a vis du groupe de copains ou au contraire sur-investissement au détriment de tout le reste, baisse importante des résultats scolaires, intérêt subit pour des thèmes morbides, perte d'appétit ou boulimie sont autant de motifs valables d'une demande de consultation psychologique.

L'apparition (ou le renforcement) de vols, des fugues, l'entrée dans des conduites addictives (alcoolisation, utilisation de psychotropes) sont également d'autres signes d'alarme.

Pour les grands adolescents ou jeunes adultes, le stress lié aux études, la préparation de certaines échéances (examens, concours d'entrée dans les grandes écoles, permis de conduire, oraux professionnels, etc) peuvent être accompagnés.

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Comment se passent les consultations ? 

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L'adolescent non majeur est reçu avec ses parents pour le premier entretien afin que chacun puisse exprimer ce qui pose difficulté ou question. L'adolescent sera ensuite reçu seul. Un lien est conservé avec la famille. des consultations familiales seront parfois également nécessaires. Le cadre sera défini avec le jeune dès les premiers entretiens.

Pour les jeunes adultes majeurs, ils sont reçus seul. Un lien pourra être fait avec la famille si le jeune en fait la demande.

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Famille : Accompagnement parental ; approche systémique en thérapie familiale

 

Les parents ou familles monoparentales sont parfois en demande d'un accompagnement parental car confrontés à des difficultés relationnelles ou de communication avec leurs enfants ou adolescents.

L'aide à la parentalité ne signifie évidemment  pas fournir aux parents une solution "clé en main", il s'agira plutôt d' écouter, d'encourager,  voire de permettre la parentalité par une écoute active  et un soutien pour que les parents concernés construisent leur propre parentalité.

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 Depuis la fin de la seconde guerre et particulièrement au cours des années 1970, les recherches psychologiques et psychanalytiques sur l’enfant et le bébé se sont largement développées. La vulgarisation et la diffusion de ces connaissances ont contribué à modifier les représentations associées à l’enfant et à la fonction parentale. « Le bébé est devenu une personne »  (Martino, 1985), doué de compétences multiples (Brazelton, 1982 ; Cramer, 1989) ; l’enfant est aujourd'hui pensé comme un individu à part entière qui mérite attention, écoute et respect.

Les enfants depuis leur plus jeune âge ont des besoins qu’il s’agit de prendre en considération afin de favoriser un développement optimal et harmonieux, et ce à tous les niveaux : physique, cognitif, affectif et social.

Ce processus de croissance passe par un attachement sain (sécure) à la figure parentale (Bowlby, 1969) et par des interactions parent-enfant de qualité (Brazelton et Cramer, 1991 ;  ou encore Stern, 1977).

Cependant, la tâche éducative est parfois complexe et la parentalité apparaît comme un processus qui se développe et implique des compétences à acquérir.  Conscient de l’importance et de la complexité de cette tâche, certains parents seront demandeurs d’aide et de conseils. C’est dans cette perspective que le concept de « soutien à la parentalité » trouve toute sa légitimité.

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           Code de déontologie des psychologues.

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